PeinTures
L'art n'est pas une question de compréhension, c'est une question d'expérience Antony Gormley
Tatau 80 x 80

Tore 80 x 80

Marama 80 x 80

Maro 80 x 80

Aitua 100 x 100
Biru Tua 80 x 80


100 x 100
Wai 100 x 100


Diptyque "entre les mots" 80 x 80


Aisa 60 x 60

Osooso 60 x 60

Ofo 60 x 60

Pepa 50 x 50

Kohu 50 x 50

Ngozi 120 x 120
Ael 120 x 120


Kijapani 80 x 80
Boa 80 x 80
Marama 60 x 60
Pari 60 x 60
Alternuance 100 x 100

Paerangi 100 x 100

Hono 100 x 100
Kuwaha 100 x 100






Crisalis 100 x 100
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Purea 100 x 100

Série "exploratoire 2" 24 x 30. 2022




diptique 80 x 80, "l'ivre de vie", 2022


Série "exploratoire" 24 x 30. 2022





Série "exploratoire" 40 par 40. 2022










Explorer une idée simple par œuvre, rechercher une expressivité fondamentale, limiter le geste ou le propos. "Recentrage kinesthésique, l'esprit ouvert je me laisse guider par le moment, l'ambiance de l'atelier, je deviens réceptacle et je ne juge plus..."
Les bleus 2021










En réalisant la série des tableaux où prédominent le bleu et le beige, me venait de manière récurrente l’idée d’une spatialité à échelle variable. La plus petite échelle étant celle de l’homme, de ses actions, de ses réalisations, de son activisme effréné et insensé. Au-delà, une spatialité à l’échelle de l’infini, de l’ordre de l’inaccessible, une idée de pureté, englobante, veillant sur nous, sereine, gommant tout, espace de calme. Le spirituel étant du côté du « vide », là où l’action n’est pas. Ce déplacement m’a interrogé. Le bleu est devenu symbole du calme, de l’insondable, les nuances de beiges se sont mises à suggérer les rêves, les actions, les réalisations, l’ensemble des interactions humaines. Je me suis mis à rêver secrètement d’étendue, de l’océan, mais aussi du désert, je me suis laissé téléporter au Maroc, aux portes du Sahara, où l’homme se fait rare et où la « trace » devient d’autant plus puissante et présente, au milieu des silences.







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la série "australe" 2021
L’apparition du noir, structuré, nuancé ainsi que l’expressivité suggestive des coulures m’ont amené ailleurs, peut-être dans le bush australien. Dans tous les cas, la « nervosité » de la coulure, son graphisme, sa verticalité gravitationnelle m’ont ému. Une nouvelle trace, une nouvelle évocation, une nouvelle esthétique, conjuguée aux traitements des surfaces, en arrière ou avant plan, chaque strate dialoguant avec la précédente, altérée, modifiée.
Une série où l’acte même de peindre s’est libéré, dans une attitude plus intuitive, viscérale. Moins de contrôle et plus de connexion.





Les blancs (et noir) 2021



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Dans ces compositions binaires, le blanc agit comme un voile, une matière qui contient, estompe, entoure fige les parties noires, permet les nuances et la profondeur. Le blanc est l’espace, le noir ce qui l’occupe. Le blanc et féminin, matriarcal, tissu spirituel ; le noir est la trace, l’humanité, le discours, le culturel. J’y trouve la notion du temps, de ce qui est, de ce qui apparaît et de ce qui disparaît. Le blanc, d’essence spirituelle, se transforme, se patine, se « corrompt » au contact du noir, il se singularise aussi, s’humanise. Il y a une sorte d’échange symbiotique qui me touche.



